Ibrahim Jrad
- Agrégé en Histoire
- Profession : Enseignant à la Faculté des Lettres et des Sciences Humaines de Sousse.
- Diplômes de langue italienne (juin 2012) de l’Institut Bourguiba des Langues Vivantes (Université Tunis alManar).
- Attestation de formation en « conception et gestion d’un enseignement en ligne » de l’Université de Sousse : juin 2008
- Attestation de participation au Microprogramme sur l’accompagnement à distance de la formation j’enseigne à distance, niveau collégial et universitaire. Université Téluq, Quebec, Canada. Octobre 2020
Attestation de participation au Microprogramme la diffusion de ressources de formation de la formation j’enseigne à distance, niveau collégial et universitaire. Université Téluq, Quebec, Canada. Octobre 2020
Attestation de participation au Microprogramme sur l’adaptation des contenus et la creation d’activité d’apprentissage de la formation j’enseigne à distance, niveau collégial et universitaire. Université Téluq, Quebec, Canada. Octobre 2020 - Téléphone personnel : +216.97.80.33.25
- E-mail : jrad.ibrahim@yahoo.fr
Publications :
- « La ville de Jemmel (Tunisie) et les crises de la fin du 19 -ème siècle 1881-1897 » in Actes du colloque Jemmel et ses environs : géograhie, histoire et patrimoine. Par l’Université de Sousse (Tunisie). Ed. FLSH, Sousse 2020. Pp 225-279.
- « Dettes et usures à Kalaa Sghira (Tunisie) vers la fin du 19 ème siècle » in Actes du colloque Kalaa Sghira espace, histoire et patrimoine. Par l’Université de Sousse (Tunisie). Ed. FLSH, Sousse 2017
- « Elite tunisienne et le conflit arabo-israélien : la guerre de juin 1967. » in Actes du colloque Elites, Conflits et Violence organisé le 22-24 novembre 2007, par l’Université de Sousse (Tunisie). Ed. FLSH, Sousse 2010. pp.87-112.
Divers : - Membre du syndicat de base des enseignants de la Faculté des Lettres et des Sciences Humaines de Sousse depuis 2019 (UGTT).
- Vice-président de l’association Ardhi.
- Secrétaire général de l’association Forum Tunisien pour l’Education (FTE).

Le Forum mondial sur l’éducation, tenu en mai 2015 à Incheon sous l’égide de l’UNESCO et ses partenaires, s’est conclu par la Déclaration d’Incheon pour l’Éducation 2030, un engagement historique de transformer la vie grâce à une nouvelle vision de l’éducation et à des actions courageuses et innovantes pour la réaliser. Le Cadre d’action Éducation 2030, qui établit cette nouvelle vision de l’éducation pour les 15 années à venir, a été adopté par plus de 180 états membres de l’UNESCO. Quatre ans plus tard, à la 9e Réunion mondiale de la Consultation collective des ONG pour Éducation 2030 (CCONG-Éducation 2030), qui s’est tenue en Tunisie en 2019, les organisations participantes ont affirmé que le monde est confronté à une crise éducative, causée par un manque de volonté politique, une faible priorisation de l’éducation et un financement insuffisant. De plus, elles ont constaté une tendance croissante à la commercialisation de l’éducation, ce qui contribue à creuser davantage les inégalités. Les systèmes éducatifs mondiaux ne semblaient pas respecter l’engagement pris dans le programme Éducation 2030. Le ministre de l’Éducation de la Tunisie d’alors avait, à la même occasion, souligné que la plupart des pays n’avancent pas suffisamment pour atteindre les objectifs fixés pour 2030. Il a appelé à une reconnaissance de l’importance stratégique de l’éducation pour toutes les nations et a encouragé la société civile à jouer un rôle majeur dans la mobilisation pour y parvenir.