Liliane Portelance détient un Ph.D. en psychopédagogie de l’Université de Montréal. Elle était enseignante au secondaire. Après plusieurs années d’enseignement et de recherche en formation initiale et continue des enseignants, elle poursuit ses collaborations sur la formation des enseignants associés, l’insertion professionnelle en enseignement et les pratiques d’enseignement…
Titulaire d’un Ph. D. en Sciences Géologiques de l’Université de Tunis El Manar, Besma Mardassi a exercé dans plusieurs établissements universitaires rattachés aux Universités de Gabès et Sfax. Elle a animé plusieurs ateliers sur l’autonmisation des apprenants, la scénarisation et la médiatisation des cours en ligne. Elle a dispensé des…
Simon Beaudin est analyste sociopolitique au ROCLD depuis 4 ans. Diplômé de l’Université du Québec à Montréal à la maîtrise en science politique, il s'intéresse principalement aux enjeux de la lutte à la pauvreté, de l'éducation inclusive et de la transition socio-écologique. Il s'est impliqué au Mouvement Jeunes…
Gaëlle Poirier-Morin est diplômée en communication politique de l’Université du Québec à Montréal et responsable des communications et de la mobilisation au ROCLD depuis 3 ans. Engagée dans le milieu de l’action communautaire autonome, elle a été grandement impliquée dans le déploiement des forums citoyens Parlons éducation à…
André Villeneuve est professeur en administration de l’éducation au Département des sciences de l’éducation de l’Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR). Il est membre du conseil d’administration de l’Association pour le développement de l’enseignement et de la recherche en administration de l’éducation (ADERAE) au sein duquel il s’implique…
Andréanne Gagné est professeure au département de pédagogie et responsable de la formation pratique au baccalauréat en enseignement professionnel de l’Université de Sherbrooke (Canada). Elle est membre de l’Observatoire de la formation professionnelle du Québec et du Centre de recherche interuniversitaire sur la formation et la profession enseignante.…
Dr Farah Azouzi, assistante hospitalo-universitaire en microbiologie médicale. Travaille en tant que médecin microbiologiste au laboratoire de microbiologie du CHU Sahloul de Sousse et enseigne la Microbiologie Médicale à la Faculté de Médecine de Sousse.
Enseignant et membre du comité pédagogique à la faculté de medecine de Tunis Enseignant, membre de l'unité de simulation et président du comité d'innovation pédagogique à l'école Supérieure des Sciences et Techniques de la Santé de Tunis Enseignant et membre du comité pédagogique à l'école de le Santé…
Maîtresse de conférences en sciences de l’information et de la communication à l’INSPE de l’Université de Franche-Comté et membre du laboratoire CIMEOS (UR 4177).
Enseignante chercheuse à l'université de Tunis et poétesse. Passionnée d'art en général et de la poésie en particulier, j'ai commencé depuis des années des recherches en didactique du français. Les obstacles didactico-pédagogiques, les solutions possibles, la mise en pratique et l'évaluation des méthodes et approches didactiques et…

Le Forum mondial sur l’éducation, tenu en mai 2015 à Incheon sous l’égide de l’UNESCO et ses partenaires, s’est conclu par la Déclaration d’Incheon pour l’Éducation 2030, un engagement historique de transformer la vie grâce à une nouvelle vision de l’éducation et à des actions courageuses et innovantes pour la réaliser. Le Cadre d’action Éducation 2030, qui établit cette nouvelle vision de l’éducation pour les 15 années à venir, a été adopté par plus de 180 états membres de l’UNESCO. Quatre ans plus tard, à la 9e Réunion mondiale de la Consultation collective des ONG pour Éducation 2030 (CCONG-Éducation 2030), qui s’est tenue en Tunisie en 2019, les organisations participantes ont affirmé que le monde est confronté à une crise éducative, causée par un manque de volonté politique, une faible priorisation de l’éducation et un financement insuffisant. De plus, elles ont constaté une tendance croissante à la commercialisation de l’éducation, ce qui contribue à creuser davantage les inégalités. Les systèmes éducatifs mondiaux ne semblaient pas respecter l’engagement pris dans le programme Éducation 2030. Le ministre de l’Éducation de la Tunisie d’alors avait, à la même occasion, souligné que la plupart des pays n’avancent pas suffisamment pour atteindre les objectifs fixés pour 2030. Il a appelé à une reconnaissance de l’importance stratégique de l’éducation pour toutes les nations et a encouragé la société civile à jouer un rôle majeur dans la mobilisation pour y parvenir.